Lablabi: Pourquoi les Tunisiens en sont ACCROS?

La VRAIE raison pour laquelle les Tunisiens sont ACCROS au Lablabi (et ce n’est pas juste le goût!)

Ah, le Lablabi ! Cette soupe de pois chiches, pain rassis, harissa et… mystère! Avouons-le, si vous êtes Tunisien et que vous n’aimez pas le Lablabi, il y a de fortes chances que votre famille vous renie (non, pas vraiment, mais vous sentirez des regards accusateurs lors du prochain rassemblement familial, c’est garanti !). Mais au-delà de la pression sociale, pourquoi cet amour inconditionnel pour un plat qui, soyons honnêtes, n’est pas le summum de la gastronomie française ?

Un bol fumant de Lablabi appétissant

D’abord, parlons de la composition. Des pois chiches, du pain rassis (parfait pour éviter le gaspillage, nos grands-mères seraient fières!), de l’huile d’olive (parce que la santé, c’est important, n’est-ce pas?), de la harissa (la base!) et souvent, un œuf mollet (pour le côté « je me fais plaisir »). C’est simple, c’est réconfortant, c’est… efficace contre les jours de grisaille !

Mais la VRAIE raison, celle que personne n’ose vraiment avouer, c’est que le Lablabi est un super-pouvoir. Oui, vous avez bien lu! Un super-pouvoir contre… la gueule de bois ! On se retrouve coincé après une soirée un peu trop arrosée? Pas de panique! Filez au vendeur de Lablabi le plus proche. La harissa vous réveillera en sursaut, les pois chiches vous remettront d’aplomb et le pain absorbera le reste de la soirée. C’est presque magique ! (Presque, parce que le Lablabi ne vous fera pas oublier ce que vous avez dit à votre patron. Désolé.)

Et puis, soyons honnêtes, qui peut résister au marchand de Lablabi qui hurle son offre dans la rue, même à 2h du matin ? C’est un appel irrésistible, une invitation à se joindre à la tribu des accros au Lablabi. Refuser, c’est un peu comme renier ses origines. Et ça, ce n’est pas une option, n’est-ce pas ?

Alors la prochaine fois que vous vous retrouvez devant un bol fumant de Lablabi, n’oubliez pas : ce n’est pas juste de la nourriture. C’est un symbole, une tradition, un remède miracle… et surtout, une excellente excuse pour manger du pain rassis !