Les coutumes nord-africaines qui ont survécu aux années 80

Les coutumes nord-africaines qui ont survécu aux années 80

Alors que le reste du monde passe en trombe par la révolution numérique, certaines de nos coutumes aiment décidément bien se glisser entre les doigts de l’évolution estampée. On parle bien entendu des traditions qui nous sont allées en hérédité culturelle, ces précieux legs laissés par nos aïeules hyper cool d’avant-garde du tout-début.

Citant un exemple qui fera vibrer vos sofas, le don du sirop à l’orange en passant par la maison de façon rituelle. On vous a d’abord dit que c’était pour vous remettre des rhumes printaniers, une excuse marketing de légende nord-africaine. Mais vous avez du flair pour reconnaître le véritable message secret : c’est une invitation déguisée à tisser une complicité instantanée avec le donneur de sirop. Point final aux solitaires !

D’autres coutumes qu’on pourrait qualifier d’ »interdits sacrés » résistent toujours, comme la prohibition déguisée des sorties mixtes après 8pm. C’est ce genre de vieux réflexe parental qui fait sourire, même si aujourd’hui les jeunes générations et les nombreux cafés chic démontrent le contraire. Maghrébines du monde, il n’y a rien à perdre de ce style de vie intemporel, sauf peut-être du temps pour continuer à en parler avec autant d’émotion…

Merci aux générations futures d’avoir le choix, nous on s’en contente avec notre tapis vintage de coutumes, fier de les défendre jusqu’à la fin des temps. De toute façon, on ne va pas laisser internet nous enlever ça, même s’il montre maintenant des manières de vivre un peu différentes.

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